Alors que viennent de sortir les décrets sur la nomenclature du ZAN et que la notion d’artificialisation semble enfin fixée, les opérateurs vont désormais pouvoir travailler concrètement aux formes urbaines qui permettront d’allier densité et qualité de vie. Pour réduire l’enveloppe foncière des projets, il faudra également intégrer la notion paysagère et végétale en valorisant la capacité des projets à participer au retour de la biodiversité et à la création d’îlots de fraicheurs de plus en plus indispensables. Casse-tête ou défi ?
Intervenant : – Arthur Lapeyrère, Adjoint à la Direction de l’Immobilier de l’Etat (DIE)